A MON EPOUSE
Dans ce monde, féroce et cruel,
Heureusement, il me reste
ELLE
Que de souffrances m’ont déchiré,
Pour si peu de plaisirs vécus.
Que devrais-je encore supporter,
En taisant que je ne n’en peux plus.
Dis, mon amour, le sais-tu toi ?
En qui je puise ma force de vivre,
Pour lutter dans tous les combats,
Jusqu’à en devenir ivre.
Pour qui je tremble à en mourir,
Si, Dieu, Dans cette galère de vie,
Tu devais à mes yeux faillir
En me laissant seul dans l’oubli.
Mes jours s’écouleraient sans clarté,
Mes nuits de longues insomnies
Je vivrais caché, de secrets
Qui nous ont ensemble réunis.
Nos cœurs font siège de sentiments,
Et je sais combien ta présence
Parmi nos souffles à l’unisson,
Me manque déjà dans tes absences.
Mais Quoi me servirait à Quoi
Que m’apporterait le soleil
Que m’apporterait le soleil
Sans la chaleur de tes deux bras ?
Qui entourent mon corps en sommeil.
Sans la lumière de tes yeux,
Quand ils sourient amoureusement
Et qui éclairent partout de bleu,
Toute la grandeur de la maison.
Que ferais-je, Orphelin de ta chair,
Entouré de ce qui fut nous,
Je verrais le temps me défaire,
Les souvenirs me rendre fou.
Je t’écris une fois pour toutes,
Avant qu’un jour je disparaisse,
Pour arracher en toi le doute,
Tu restes ma plus grande faiblesse
Un magnifique poème d’amour écrit par un Epoux à la femme de sa Vie,
Merci Jean, mon Ami d'enfance Gros bisous à tous les deux
Et pour terminer pour ce soir, une note gaie, une comptine enfantine
La souris verte.
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